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L'Auberge des Templiers à l'honneur

dimanche 3 mars 2013, par Olyves

Coup de coeur de la rédaction du magazine "Le Chef" pour l'Auberge des Templiers

L'auberge a malheureusement fermé depuis.

Tremplins 2012

Trophées Le Chef - Tremplins 2012

La soirée « Trophées Chef de l’année » a certes fédéré un parterre de convives étoilés nombreux. Les lauréats récompensés étaient, pour la plupart, issus de palaces ou de grandes maisons dont le renom et le prestige ont depuis longtemps dépassé nos frontières. En organisant ces Trophées, la rédaction du Chef avait choisi de célébrer la technicité, la créativité, l’excellence et l’audace. En parallèle de ces distinctions et prix, le magazine Le Chef n’a pas omis, cette année encore, de saluer les premières installations.

Hommage donc à l'entreprenariat, au sens de la gestion, à l'originalité et aux compétences culinaires des chefs qui ont fait l'objet d'une sélection de la rédaction nommée "les Tremplins".

Arnaud Baldereschi a repris depuis quelques mois cette institution creusoise qu'est l'Auberge des Templiers à Jarnages avec son épouse Sabine avec l'idée d'insuffler un vent de créativité culinaire dans une région attachée à une cuisine plutôt classique. Avec 225 000 € d'investissement couvrant l'achat du fonds, les travux et la décoration, Arnaud et Sabine pilotent un hotel-restaurant de 7 chambres, une salle de 45 couverts et un espace bistrot.

L'innovation, pour Arnaud Baldereschi, c'est une règle d'or, une véritable philosophie qui s'illustre à la lecture d'une carte qui change toutes les 3 semaines. Nous souhaitons que leur établissement devienne une adresse de référence, il semble que leur rêve de décrocher une étoile Michelin n'est pas hors de portée mais nous apprécions pour le moment l'accessibilité de leurs prix !

La soirée « Trophées Chef de l’année » a certes fédéré un parterre de convives étoilés nombreux. Les lauréats récompensés étaient, pour la plupart, issus de palaces ou de grandes maisons dont le renom et le prestige ont depuis longtemps dépassé nos frontières. En organisant ces Trophées, la rédaction du Chef avait choisi de célébrer la technicité, la créativité, l’excellence et l’audace. En parallèle de ces distinctions et prix, le magazine Le Chef n’a pas omis, cette année encore, de saluer les premières installations. - See more at: http://www.lechef.com/les-tremplins-2012-le-coup-de-coeur-de-la-redaction/#sthash.pmC9FwFV.dpuf
La soirée « Trophées Chef de l’année » a certes fédéré un parterre de convives étoilés nombreux. Les lauréats récompensés étaient, pour la plupart, issus de palaces ou de grandes maisons dont le renom et le prestige ont depuis longtemps dépassé nos frontières. En organisant ces Trophées, la rédaction du Chef avait choisi de célébrer la technicité, la créativité, l’excellence et l’audace. En parallèle de ces distinctions et prix, le magazine Le Chef n’a pas omis, cette année encore, de saluer les premières installations. - See more at: http://www.lechef.com/les-tremplins-2012-le-coup-de-coeur-de-la-redaction/#sthash.pmC9FwFV.dpuf
Trophées Le Chef – Les Tremplins 2012
Trophées Le Chef – Les Tremplins 2012

L'hôtel Beaune

dimanche 1 juillet 2012, par Olyves

Dans les années 30 Henry Beaune, excellent cuisinier, marque l'histoire gastronomique de Gouzon en compagnie de sa femme Marie, qui avait un accueil particulièrement chaleureux.

On disait l'hôtel Beaune et effectivement il avait une dizaine de chambres mais c'était surtout un restaurant. La recette la plus réputée en était les ris de veau à la crème.

Henry Beaune était aidé par un cuisinier qui est devenu célèbre également, Robert Sourdille.

L'hôtel était une étape incontournable pour une clientèle huppée essentiellement parisienne. Durant la guerre, Gouzon était en zone libre et à l'hôtel Beaune il y avait toujours à manger. Les nombreux chasseurs pêcheurs et braconniers de la région fournissaient des victuailles pour ce grand restaurant. Le restaurant a vu passer quelques hommes célèbres à l'époque : Henry Queuille (président du conseil sous la 4ème république), le roi des  Belges, le grand couturier Paul Poiret, sans oublier les coureurs du tour de France...

En 1947 l'hôtel Beaune a obtenu un "macaron" dans le guide Michelin.

hotelbeaune1923.jpg

Autres restaurants favoris

mardi 22 mai 2012, par Olyves

Les Toques blanches du Limousin

Tous ces restaurants méritent la visite, nous avons testé et approuvé pour vous :

  • Le Coq d'Or à Chénerailles
  • La Bonne Auberge à Nouzerines
  • La Belle Epoque à Guéret
  • Le Damier à Fontanières
  • Le Lion d'Or à Aubusson
  • Le Viaduc à Ahun

Les Estonneries à Chambon sur Voueize

Déjà cité pour l'hôtel, cadre superbe, excellent accueil.Nouveau venu à tester : l'Auberge de Camille à Sous-Parsat

Le bistrot du village repris par un chef qui a travaillé dans des maisons étoilées. Les prix sont minimes compte tenu de la qualité si j'ai bien lu.

A Montluçon qui est en quelque sorte une annexe de Gouzon :

Le Grenier à Sel, adresse exceptionnelle.

Les 12 Apôtres, un vrai bistrot, menu toujours frais.

La Chapelle Saint Jean, relais Châteaux et Hôtels.

Le Relais d'Alsace, ouvert quand les autres sont fermés.